
L’insertion de l’épreuve orale d’anglais aux examens d’État, telle que décidée par l’inspection générale de l’enseignement, ne suffira pas à résoudre le problème de la pratique de l’anglais par les élèves finalistes du secondaire. C’est l’avis du professeur Paul Vitamara Masimango, enseignant à la faculté de Psychologie et des sciences de l’éducation de l’Université de Kisangani.






